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Nabilla Benattia : un dérapage incontrôlé à cause de la pression médiatique ?

Vendredi 24 Avril, Nabilla Benattia faisait sa première apparition publique depuis son incarcération. C’est à Paris, au salon What The F…, qu’elle a fait un timide retour, lors duquel elle ne s’était pas encore exprimée. Placée sous contrôle judiciaire et dans l’attente de son procès depuis qu’elle est soupçonnée de « tentative d’homicide involontaire » sur son compagnon Thomas Vergara, la starlette a choisi d’accorder une interviewe exclusive à Frédéric Beigbeder, le directeur du magazine Lui, dans laquelle elle revient sur son parcours et s’exprime sur son incarcération.

Bien que les sites people évoquent un retour décontracté et en forme de la starlette de télé-réalité qui ne cesse de faire le buzz, les récentes photos de cette dernière laissent cependant entrevoir sous l’épaisseur de son maquillage et sous son sourire de mise, un visage plus marqué et fatigué que ce que les apparences laissent à penser, comme si quelque chose d’une juvénilité s’était envolé depuis les derniers événements dramatiques. Nabilla Benattia confie ainsi à Frédéric Beigbeder les moments douloureux passés en prison, son effondrement et son envie d’en finir. Comment, en effet, ne pas être marqué par le vécu de pareils moments ? Tout en clamant son innocence et ses sentiments toujours présents pour son compagnon, la starlette invoque cependant la pression médiatique comme facteur déclencheur de ce « dérapage incontrôlé » : « ça a dégénéré parce qu’il y a eu des médias, cette tension. Ce n’est pas facile de marcher tous les jours, tête baissée dans la rue, de se cacher. Moi, on me reconnaît à ma voix, à ma simple odeur. […] Ils me reconnaissent à mes ongles, mes tatouages. C’est oppressant, ça crée une tension et tu deviens ouf. » Ces affirmations laisseraient-elles entrevoir que derrière le drame se profilerait aussi le procès des médias et de la télé-réalité ? Si Nabilla Benattia reste floue quant à son passage à l’acte et se pense avoir été injustement incarcérée pour« donner l’exemple », elle dévoile cependant sous le strass et les paillettes un univers plus oppressant qu’il n’y paraît. 

La notoriété télévisuelle, même lorsqu’elle s’avère ne reposer que sur la vente d’une prétendue image « telle que l’on est », représente « un boulot à plein temps » comme le souligne la starlette, qui ne regrette pas pour autant cette exposition médiatique permanente dont elle est l’objet. Comment le pourrait-elle lorsqu’elle confie gagner 100 000 euros par mois ne serait-ce qu’avec la vente de sa ligne de vêtement ? « J’ai réfléchi et je me suis dit que la vie, ce n’est pas que la télé. Les médias, c’est une partie intégrante de ma vie mais ce n’est pas ma vraie vie », confie-t-elle cependant. La starlette envisage dorénavant une reconversion dans l’univers cinématographique. En attendant, rappelons que le procès devrait se dérouler d’ici fin 2015 à début 2016

Nabilla Benattia : une sortie de l’ombre un peu hâtive ?

Depuis sa mise en examen et son séjour en prison, la starlette de télé-réalité, Nabilla Benattia, soupçonnée de tentative d’homicide sur son conjoint Thomas Vergara, avait donné peu de signes de vie. A peine l’enquête terminée, la starlette et les chaînes télévisées semblent déjà préparer son grand retour. D8 a ainsi diffusé son émission « l’œuf ou la poule » tournée quelque temps avant les faits et les producteurs d’NRJ12 parleraient d’un projet d’émission mettant en vedette la starlette. A la veille d’un potentiel procès, ces éléments laissent-ils présager quelques non-lieux ?

Interviewé dans Le Figaro, Christian Saint-Palais, l’avocat de la starlette, a annoncé la fin de l’enquête et ses suites possibles : « [L’enquête] est terminée, les juges d’instruction ont adressé aux parties une lettre recommandée pour le signifier. Des délais de trois mois puis d’un mois sont ouverts pour les uns et les autres pour formuler des demandes de date. Au terme de ces délais minimums, les juges prendront une décision, soit de saisine d’une interdiction, soit de non-lieu. C’est le processus prévu par la loi. ». Soupçonnée d’avoir poignardé son compagnon dans la nuit du 6 au 7 Novembre 2014 dans un hôtel situé à Boulogne Billancourt, Nabilla Benattia avait passé 5 semaines en détention provisoire pour se voir libérée avant les fêtes de Noël 2014 et placée sous contrôle judiciaire avec interdiction d’approcher son compagnon pour ne pas gêner le déroulement de l’enquête. Les deux amants terribles ont ainsi défrayé la chronique et généré de nouveaux questionnements sur la pression médiatique exercée sur les participants d’émission de télé-réalité, jetés sans filet dans l’arène télévisuelle qui ne cesse d’exploiter leur image.

Désormais célèbre pour son « Nan mais Allô quoi ? », devenu un « mème » français culte, c’est-à-dire une sorte « d’élément culturel » absurde répété et imité à tout-va, la bimbo, qui a également bien compris qu’il fallait investir dans une plastique conforme aux attentes de l’univers télévisuel pour percer, avait plutôt bien réussi à gérer sa notoriété jusqu’au récent drame. A moins que ce dernier ne finisse par devenir également un scénario exploité pour entretenir le buzz et la notoriété de la starlette ? En effet, à quelques mois d’un potentiel procès, le drame semble retomber comme un anodin soufflet dénué de sens. Parions que ce dernier restera impensé mais finira néanmoins un jour exploité par quelques émissions de télé-réalité afin de servir aux spectateurs un nouveau « story telling » monté de toute pièce ! En attendant, les spectateurs peuvent, comme si rien ne s’était passé, recommencer à admirer les pseudos buzz autour de l’inculture de la starlette, mise en scène par D8, de son décolleté ou encore de son déhanché

 

Nabilla ne comprend rien au principe de l’émission Pièges de Stars

Nabilla apparaissait pour la seconde fois sur le plateau de « Touche Pas à Mon Poste » et une séquence culte a été observée. La jeune femme s’est illustrée lors du débat concernant « Pièges de Stars ».

Nabilla a des problèmes de compréhension

L’arrivée de Nabilla au sein de l’équipe de Cyril Hanouna a fait couler beaucoup d’encre et elle permet à l’émission d’obtenir une publicité non négligeable grâce à sa personnalité assez atypique. Pour la seconde fois, elle était sur le plateau de TPMP et elle devait partager son avis sur l’émission « Pièges de Stars » qui est diffusée sur NRJ12. La jeune femme révèle qu’elle a été « appelée personnellement pour le faire et du fait qu’on m’ait appelée, je pense que c’est un petit peu organisé ». Julien Courbet lui précise qu’elle avait sans doute été castée pour être « piégeuse ».

La différence entre être piégé et piéger autrui

Toutefois, Nabilla ne comprend pas le concept de l’émission « Pièges de Stars » et Julien Courbet lui révèle qu’on lui a « demandé si j’étais d’accord pour piéger des gens qui ne me reconnaîtraient pas ». La jeune femme issue de la télé-réalité n’arrive pas à saisir le concept et Cyril Hanouna rétorque « Alors là, c’est un problème de français, amenez-moi un tableau ». À cet instant, l’animateur tente de lui expliquer la différence entre « piéger quelqu’un » et « être piégé ».

Nabilla persiste, elle n’a rien compris

Les moqueries ont donc été au rendez-vous, car l’objectif de cette émission consiste à piéger des inconnus avec la complicité de célébrités qui sont dans ce cas de figure grimées. Dans tous les cas, Nabilla n’avait vraiment pas saisi le concept puisqu’elle a persisté : « Moi c’était pour être piégée ».

Quelques suites de l’affaire Benattia-Vergara

Neuf mois après le drame survenu en Novembre 2014, à la suite duquel la starlette de télé-réalité, Nabilla Benattia, a été incarcérée en détention provisoire à la prison de Versailles pour soupçon de « tentative d’homicide volontaire » sur son conjoint Thomas Vergara, les amants terribles de la téléréalité font encore la une des « faits divers ». En effet, alors que les deux amants sont soumis à une décision de justice leur interdisant de rentrer en contact, de récentes photos circulant sur la toile, qui dateraient de la mi-Juillet 2015, les montraient réunis à Aix-en-Provence. Une rumeur concernant une plainte qui aurait été déposée à l’encontre du couple par une cinquantenaire, qui aurait eu une altercation avec eux lors de la projection d’un film dans un cinéma d’Aix-en-Provence, fait également la une des médias. Défrayant encore la chronique, les amants terribles seraient-ilsvictimes de leur surmédiatisation ? Passionnelle, leur relation ne cesse en tout cas d’inquiéter leurs proches. Entre addiction aux médias et dépendance amoureuse, jusqu’où le couple sera-t-il poussé à aller ? Et, comment la justice, qui, face à cette affaire se voit autant confrontée à quelques symptômes propres à une relation passionnelle, qu’à quelques phénomènes sociaux prompts à enflammer et à alimenter pareille relation médiatisée, réussira-t-elle à barrer cet étalage de jouissance ? Ce sont en tout cas de réelles questions de fond que cette affaire, réduite par les médias à quelque étalage spectaculaire, révèlerait en réalité.

Ainsi, comme en réponse à ces photos qui enflammaient la toile, fin Juillet, les médias nous apprenaient que la justice renvoyait le dossier « Benattia-Vergara » au tribunal correctionnel de Nanterre. Échappant donc de peu aux Assises, la starlette se verra jugée pour « violences volontaires aggravées sur son compagnon ». Le procès devrait se dérouler en 2016 et Nabilla risquerait ainsi 7 ans de prison et 100 000 euros d’amende. Pareille décision, intervenant juste après l’exposition publique de la supposée transgression par les amants de l’interdiction judiciaire de se voir, serait-elle une façon de signifier au quidam, que, sous l’apparente impunité de ce couple médiatisé, qui semble donc prompt à se jouer des « Lois », une complexité tant humaine que sociale se jouerait ?

Parions que la justice risque encore avec cette affaire de connaître quelque cas de conscience… Car, en laissant le couple (se) jouer des interdits qu’elle énonce pourtant, elle reconnaît quelque part l’engrenage médiatique dont ils sont les victimes et se refuse à raison de les punir sans méditer cela. Cependant, sans énoncer de limite et sans barrer l’étalage médiatique de la jouissance, la justice semble encore permettre à ces « gens de télé-réalité », (qu’ils soient producteurs invétérés d’émissions risquant la vie des candidats qui y participent ou stars de la « télé-poubelle » en proie à quelques symptômes dont les médias sont friands dans l’unique but de faire de l’audience), de narguer en toute impunité le commun des mortels et la « Loi » à laquelle, eux, se voient soumis…

Koh Lanta Johor épisode 2 : souffrir pour réussir!

Vendredi 1er mai, le deuxième épisode de Koh Lanta Johor a été diffusé et l’audience était à nouveau au rdv. La télé-réalité d’aventure phare de TF1 s’est même vue récupérer 185 000 spectateurs à l’issue des vacances scolaires. En tête des parts de marché avec 26,5 %, Koh Lanta a donc réussi à réunir 6,1 millions de téléspectateurs, mais a cependant perdu 1,1 % de part du marché par rapport à la semaine précédente.

Au programme ce vendredi dernier : conquête du feu chez les jaunes grâce à Marc, élimination sacrificielle de la mère de famille Anne-Marie chez les rouges, piqûres de guêpes cannibales pour les aventuriers bannis sur une île hostile, rationnement, privation, compétition, stratégie et dépassement de soi ! Bref, que du bonheur ! En regardant Koh Lanta, on se dit que, dans la vie, ou du moins dans notre société actuelle, pas de doute : il faut une bonne dose de masochisme et de sacrifice de soi-même pour survivre ou réussir !

Ah, lala, ils sont forts ces producteurs pour créer des histoires et lancer des messages qui n’ont pas leur pareil pour faire écho à notre belle « Société du Spectacle » bien ancrée sur un modèle capitaliste ! Il n’y a qu’à regarder les profils des candidats : que des compétiteurs, chacun à leur manière, que cela soit pour gérer une entreprise ou une famille ! Des battants, des gens qui en veulent et qui sont prêts à tout pour survivre ! Des candidats, qui n’ont en tout cas pas peur de se lever tôt pour réussir comme dirait Corinne. A trop dormir, on obtient rien dans la vie, on en doute pas. Enfin… sauf les ours peut-être ?

Bref, dans Koh Lanta, l’avenir semble appartenir aux trimeurs et aux bosseurs. Un vieux discours, qui, il faut croire, marche encore… Pourtant, on a des doutes, surtout lorsqu’on constate, en dehors de la rudesse de l’univers Koh Lantien, qu’il suffit d’investir dans une poitrine en plastique et de dire « Nan mais allô quoi ?! » à la télé pour se faire 100 000 euros par mois ! Mais est-ce si différent dans Koh Lanta ? En effet, les stratégies éliminatoires ne permettraient-elles pas également de remporter le titre de « seul survivant » ? Et au fait, Darwin aurait-il dit que seule la survie de l’individu au sein de l’espèce comptait ou parlait-il de la survie de l’espèce en général ? Ah, mais peut-être que Koh Lanta est une réinterprétation des théories darwiniennes version Adventure Line Production (ALP) et TF1 ?!

Ça y est, on a compris : parfois, pour réussir ou survivre, il faut savoir souffrir et faire des sacrifices, un peu de soi-même et beaucoup des autres aussi ! Telle pourrait être le message de ce passionnant jeu de survie moderne ! Peut-être que TF1 et ALP, les candidats et les spectateurs devraient également jeter un œil sur le dernier Tracksdiffusé par Arte, qui nous enseigne que le sacrifice de soi au travail ce n’est pas si bon que ça pour la santé …

Ayem Nour : victime de rumeurs ?

Suite à son hospitalisation le 17 Février dernier, l’ancienne candidate de Secret Story5, Ayem Nour, aujourd’hui animatrice de L’œil d’Ayem sur June TV, après avoir animé quelques temps Le Mag au côté de Matthieu Delormeau sur NRJ12, était restée silencieuse. De nombreux magazines, tels que Voici et Public, divulguaient alors la rumeur d’une tentative de suicide. Après un long silence, l’ancienne secretiste, invitée sur le plateau du MAG d’NRJ12 ce 12 Mars 2015, s’est enfin exprimée sur son hospitalisation. Elle dément toute tentative de suicide et entend attaquer en justice de nombreux magazines pour diffamation.

Décidément l’univers de la télé-réalité ne cesse de susciter des inquiétudes morbides. Entre les nombreuses tentatives de suicide de Loana, les frasques judiciaires d’une Nabilla Benattia sous pression, le tragique accident sur le tournage de Dropped, c’est également Ayem Nour qui a suscité l’inquiétude médiatique. Mais, entre buzz, « storytelling » et réalité comment démêler le vrai du faux ?

Selon les journalistes de Public et de Voici, l’animatrice se serait retrouvée à l’hôpital suite à l’absorption d’un cocktail d’alcool et de médicaments. Inquiétée par la soi-disant rupture de la starlette avec son conjoint le milliardaire Vincent Miclet, la presse mettait notamment l’accent sur une lettre que l’animatrice avait posté sur Twitter le jour de son anniversaire. Dans cette dernière, elle dénonçait la dureté de l’univers dans lequel elle évolue, affirmant notamment ne pas savoir si elle aurait la force de continuer à endurer les jugements récurrents qui la poursuivent. Cantonnée depuis Secret Story5 à l’image de la belle arriviste cruelle, qui l’opposait à celle de la fragile Marie Garet, Ayem Nour semble en effet souffrir des attaques d’un public peu enclin à lui pardonner son fort caractère et ses tendances à se mettre en avant.

S’emparant de l’événement, la presse reléguait alors des informations sur l’état psychique inquiétant de l’animatrice. Mais, ce 12 Mars, c’est une Ayem remontée et en colère qui apparaît sur Le Mag pour démentir toute rupture amoureuse, toute prise d’alcool et de médicaments et toute tentative de suicide. Elle affirme avoir été hospitalisée pour une baisse de tension suite à la prise de coupe-faim et entend attaquer en justice la presse pour diffamation. Le magazine Public maintient cependant ses affirmations, pendant que Télé-Loisir nous apprend que l’émission L’œil d’Ayem sera suspendue suite à son absence. Comment, parmi toutes ses informations contradictoires, faire la part des choses ? Ce qui semble en tous cas certain, c’est que cet univers apparaît effectivement plus qu’épuisant et qu’un burn out ne serait pas étonnant… Nous renvoyons à nouveau à la chaîne Arte, qui diffuse, quant à elle, un intéressant documentaire sur cet intriguant phénomène de société…